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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 08:15
Actualité

    Les Total 24 Hours of Spa continuent d'attirer les concurents. En GT2, en tout cas, les annonces se sucèdent à un rythme soutenu. Ainsi, on apprend que la Scuderia Ecosse a reconstitué son trio de 2007 et de viser la victoire en GT2. Décidément cette catégorie va être âprement disputée car cela fait une Ferrari F430 de plus pour faire oublier la débâcle de l'an dernier. La Scuderia Ecosse comptera sur Jamie Davies, Fabio Bobini et Ferdinando Monfardini. Ce dernier revient en FIA GT après avoir vécu une très mauvaise saison 2007 sur l'Aston Martin de la BMS Scuderia (pas mal d'abandon et seulement 8 points au championnat).
 

    Ça, c'était le bon côté. Dans le moins bon, il faut noter l'incertitude de la venue de la Lamborghini Murcielago du IPB Spartak Reiter Engineering. En effet, Peter Kox, son pilote fétiche, s'est blessé à la jambe lors de la manche d'ouverture du championnat ADAC. Sa "Lambo" s'acccrochant avec une autre Gallardo. Tant et si bien que le team parlait de faire l'impasse sur la course de ce week-end à Oscherslben. L'auto y est inscrite mais il n'est pas certain qu'on ne les verra au test day de ce mardi 8 à Francorchamps.

Prompt rétablissement !
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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 12:05
Présentation

    L'an dernier, les Ferrari F430 avaient tout pour gagner. Avaient car les luttes intestines eurent raison de l'armada et les une après les autres, les F430 finissaient la course dans le mur du Raidillon, les rails et finalement remplissaient... le cimetière à la Source.

    Survivante de ce jeu de massacre, celle de la CR Scuderia passait la  ligne d'arrivée à la 5e place du GT2... derrière 4 Porsche GT3-RSR.

    Il y a de la revanche dans l'air pour 2008 et la CR Scuderia s'est donnée les moyens en engageant deux voitures et pas moins de... 8 pilotes !

    Ainsi, au volant de la 55, on retrouve Chris Niarchas, Tim Mullen, Andrea Piccini et Gordon Shedden alors que sur la 56, ce sont Andrew Kikaldy, Rob Bell, James Sutton et... Dirk Müller qui s'en partegeront le volant. Notez que ce dernier est le seul qui avait terminé l'an dernier. Kane et Aguas n'étant plus de la partie, c'est d'une profonde refonte à la quelle s'est attelée la CR Scuderia. Espérons que cela leur porte chance.
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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 11:18

Porsche 997 RSR IMSA Performance 24 Hours of Spa 2007    Hésitant quelque peu, le team français IMSA Performance-Matmut a quand même décidé de revenir dans les Ardennes avec l'ambition légitime de faire mieux qu'en 2007 quand ils avaient terminés second du GT2 du double tour d'horloge spadois.

    L'équipe managée par Franck Rava fera confiance à son équipage habituel à savoir: Raymond Nayrac, concessionnaire IMSA Porsche à Rouen (F), Richard Lietz et Patrick Long, pilotes officiels Porsche.


    De plus, l'ingénieur Roland Kussmaul sera détaché par la maison-mère pour cette épreuve.

    Gageons aussi que l'aventure sera plus longue qu'aux récentes 24 H du Mans où l'abandon de la 997 GT3-RSR fut notifié malheureusement après deux heures de course.

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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 10:38
Actualité                                                                                                      Com. Ford © photos Media Sport Development

Avec le Condroz, même si c'est différemment, Ypres est le rallye le plus difficile de la saison. Le plus éprouvant aussi. Long et piégeux, il nous réserve toujours son lot de surprises. Cette édition 2008 n'a pas dérogé à la règle.

Comme en début de saison, deux hommes se sont distingués d'entrée de jeu, une nouvelle fois les deux lauréats (2007 et 2008) du Ford RACB Rally Contest : Anthony Martin et Thierry Neuville. Le premier était le plus prompt à démarrer et il s'adjugeait les premiers scratches. Directement en tête, il renonçait assez rapidement suite à une petite incartade dans un wateringue ayant eu pour conséquence un bris de radiateur. Le second prenait le relai de manière impériale, puisqu'il signait tout simplement… tous les scratches. "Après Heuvelland (ES 12 à mi-journée samedi), nous verrons où nous en sommes, analysait Thierry avant d'attaquer ce monument des tronçons chronométrés belges. Suivant le résultat de ce long chrono, nous gérerons notre avance ou nous continuerons d'attaquer. Après un nouveau scratch, il levait le pied et commençait à gérer sa victoire à venir. Sauf que, coup de théâtre, la boîte en décidait autrement… A trois spéciales du but, il devait renoncer.

Placé en embuscade depuis le départ, Xavier Baugnet se retrouvait alors en tête. Malgré un bruit inquiétant en provenance de la boîte de vitesses, il s'efforçait de rester calme et poursuivait sa route sur un bon rythme, sans prendre de risque. Dans son sillage, Nikias Priem se réjouissait de voir poindre une 2e place qui compenserait un début de saison difficile et une édition 2007 qui, sur ses terres, avait tourné au cauchemar. Ces deux là termineront dans cet ordre à l'arrivée.

Pour sa découverte du Fiesta Sporting Trophy, Stijn Vandenberghe complète le podium. Une sacrée prestation qui sur un tel rallye mérite d'être soulignée.

Pour son retour aux affaires, Marc Deblieck termine 4e, devant Matthias Boon, qui poursuit son apprentissage du métier (le fils de Jos avait disputé son premier rallye au Wallonie), non sans avoir de nouveau fait preuve de belles aptitudes. Hein Derynck et Stevy Courteyn sont les deux derniers rescapés de cette escapade dans les alentours de la cité des chats.

Après la trêve estivale, la petite caravane du Fiesta Sporting Trophy se retrouvera à l'Omloop, sur un tracé qui rappelle assez celui de ce week-end. Après Martin, Neuville et Baugnet, qui parviendra à s'imposer à Roulers?

Comments
61. Martin-Borguet
"Nous étions partis à un bon rythme, mais sans trop en fait car nous étions conscients que ce rallye est long. Sur un carrefour pas très compliqué, mais dont nous ne voyions pas la sortie, nous avons un peu glissé des 4 roues vers un wateringue, sans gros danger, sauf que dans ledit wateringue il y avait une voiture ! En tentant de l'éviter, nous sommes tombés dans le wateringue… de l'autre côté. Nous avons mis 3 minutes à en sortie, mais le radiateur était touché : c'était terminé pour nous."

62. Neuville-Maraite
"Pour une première à Ypres, nous avons découvert un rallye difficile, vraiment plus difficile que les autres, mais très sympa, avec beaucoup de monde, beaucoup de supporters et de longues spéciales. Rouler pendant 20 minutes, c'est un régal ! Une épreuve longue aussi, ce qui change pas mal de choses… La preuve, alors que nous avions une belle avance et que nous gérions parfaitement notre course, à 3 spéciales de l'arrivée, la boîte de notre Fiesta a rencontré quelques soucis en se bloquant de temps en temps... puis définitivement. Nous devions abandonner alors que nous étions 36e au général! Dommage, nous sommes assez déçus, mais c'est ça aussi le
rallye."

63. Baugnet-Beck
"Ypres est un rallye compliqué. Surtout lorsqu'on y vient pour la première fois comme c'était notre cas. C'est pourquoi nous avons abordé cette étape comme une course de longue haleine et d'attente. Anthony et Thierry étaient clairement
plus vite que nous, mais le sort a décidé de les éliminer. A trois spéciales de la fin, nous nous retrouvions en tête et nous devions gérer notre avance tout en ménageant notre boîte qui émettait des bruits inquiétants depuis quelques temps. Nous avons décidé de rester calmes et réguliers. Nous sommes parvenus à nous imposer et du coup nous sommes en tête du championnat, mais il ne faut pas oublier qu'il faut décompter un résultat en fin de saison. Il y a encore du travail… L'Omloop, nous ne connaissons pas et nous l'aborderons comme Ypres : prudemment. Il y aura aussi le Condroz, chez nous, mais là il ne faudra pas céder à la pression. Rien n'est fait, la saison est encore longue."

76. Boon-Sonck
"Vendredi, dans la 3e ES, j'ai entendu un drôle de bruit. Comme une crevaison. Je me suis arrêté, mais tous les pneus étaient en ordre. Alors, j'ai levé la voiture avec le cric et vérifié cardans, moyeux… sans rien trouver. Nous sommes repartis prudemment et ce n'est qu'à l'assistance que nous avons découvert une jante pliée qui frottait sur l'amortisseur ! Pas grave du tout, sauf que nous venions de perdre 8 minutes. Comme je n'étais pas très heureux du comportement de la voiture, pour samedi, nous avons changé la suspension et notre Fiesta s'est métamorphosée. Malgré que nous devions parfois dépasser des voitures en spéciales, les temps étaient nettement meilleurs. J'étais vraiment heureux. Avec un peu plus d'expérience, j'espère pouvoir jouer le podium assez rapidement. Pas mieux, car Martin et Neuville sont vraiment
plus rapides. De véritables talents."

77. Berville-Malais
"Chez moi (Frederic Berville habite Ypres), tout était bien parti. Sur la spéciale 3 vendredi, j'avais décidé de voir où j'en étais par rapport à Nikias Priem, lui aussi originaire de la région et dont j'avais fait ma référence, mais un bruit
est apparu dans la boîte. Malgré tout, sur Langemark, j'étais super heureux, car nous n'étions pas très loin de Neuville et Baugnet. Puis le problème s'est aggravé, nous n'avons pas pu réparer dans les temps et nous avons dû
repartir samedi en SupeRally. Nous nous consolerons en se disant que cela fait toujours de l'expérience accumulée pour la prochaine fois. Et la prochaine fois, c'est l'Omloop où j'espère bien conjurer le sort."

78. Cetinkaya-Hayriye
"Pour mon retour en Belgique, je n'ai pas été gâtée. Les années se suivent et se ressemblent… malheureusement. Comme l'an dernier, notre participation ici s'est soldée par une sortie de route. Sauf que cette année, cela fut beaucoup
plus tôt, puisque nous sommes partis en tonneaux à 500 mètres du départ de la 2e spéciale, sur un "sommet-droite à
fond"."

79. Courteyn-Wydaeghe
"Après un bon shakedown, le rallye a été un peu plus mouvementé, avec déjà une crevaison à Kemmel le vendredi, où nous perdons environ 1 minute, et encore deux autres le samedi qui nous ont contraints à changer de roue en spéciales. Coût : sans doute quelques 6 ou 7 minutes… Ajoutons à cela un nouveau copilote le fait que nous n'étions pas très bien de nuit, et vous comprendrez que nous avons décidé de ne plus prendre le moindre risque et de ramener la voiture à l'arrivée. Cela nous fait beaucoup d'expérience et j'ai réalisé un rêve de gosse : rouler à Ypres. Une sacrée expérience en
tous cas."

80. Priem-Froyman
"Avec notre mauvais début de saison, le but était ici d'être à l'arrivée. Ainsi, nous avons adopté notre propre tempo, sans regarder les temps des autres. Vendredi, quand j'ai regardé le classement, nous étions 3e. C'était parfait. Nous
avons continué à notre rythme tout en surveillant le 4e et l'abandon de Neuville nous a offert la 2e place, sur nos terres. C'est génial et cela fait beaucoup de bien pour le moral."

90. Vandenberghe-Pattyn
"Stijn avait déjà une petite expérience de la course, en VAS et en Critérium, mais il voulait essayer autre chose. Pour ce rallye auquel il avait déjà participé une fois, il avait réuni le budget pour une Fiesta et il s'en est bien sorti, car il
venait d'une Gr. A et il s'est d'abord bien accoutumé à une Gr. N, logiquement plus fragile. Il s'est aussi très vite intégré dans la "famille Ford" et ça c'est très bien. Nous avons même reconnu avec Anthony Martin et Eric Borguet. Cette 3e place est motivante pour la suite, car il sera à l'Omloop et il essaye de terminer la saison avec cette voiture (ndlr: celle de Frederik Verstraete)."

Classifications
1. Baugnet-Beck, 3:08'41"1";
2. Priem-Froyman, + 2'14"6;
3. Vandenberghe-Pattyn, + 5'36"7;
4. Deblieck-Breyne, + 6'14"5;
5. Boon-Sonck, + 11'37"4;
6. Courteyn-Wydaeghe, + 25'19"5.
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1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 00:57
Actualité

    Ils ne se sont pas offerts la "Nordschleife", mais avec 2 manches de 2 heures, les pilotes du GDC (Gentlemen Drivers Cup) s'en sont donnés à coeur joie sur le petit circuit  de 3 km du Nürburgring.

    La présence de la barquette CN, la Norma de Quartier, Librecht et Janart, ne laissait aucun doute quant au vainqueur. Et si ce fut effectivement le cas en première manche où la victoire leur revient de droit, la seconde les verra monter sur la deuxième marche, Roland De bargigli et François Christiaens leur ayant brûlé la politesse pour 46 secondes.

    Notez qu'en première manche, Divoy et Lefebvre en tenant un rythme très rapide ne sont qu'à un tour des vainqueurs. Le proto  (P) ne marquant pas de point, ils sont les vainqueurs moraux de cette première joute. Cas similaire pour la troisième place générale de la Lotus Elise qui devient la seconde  pour la Porsche du duo Quartier/Christians.

    Les résultats "bruts" de décoffrage sont ce qu'ils sont, mais on a aussi assisté à des performances étonnantes. Notamment
 




celle de la Citroën AX de Jérémy et Luc Princen associé à Gary
Peeters. Déjà dans le top 5 de la course 1, ils s'offrent le podium dans la suivante !

    Au rayon satisfaction, on note la présence de la Nissan 200 SX-R dans le top 10 en course 1 et le retour des frères Delporte avec leur Golf Turbo et la venue d'un nouveau "monstre", la BMW E46 GTR de Quatier et De Bargigli. Très rapide, elle a explosé le chrono de 5 secondes plus rapide que la Porsche 996 GT3 en seconde manche avant d'abandonner. Si sa présence se confirme pour le reste de la saison, voilà un sacré "épouvantail" pour la concurrence. Lors de cette même manche 2, le plateau va se décomposer et de ne plus voir entre autre la Nissan 200 SX-R. Et de revoir avec satisfaction la Honda Intregra bio-éthanol de Wilders rentrer dans le top 5.

    En conclusion, le retour de certains anciens (Delporte, Buffet, Lannaux...), la venue de nouveau bolide (BMW E46 GTR) et la présence de fidèles (Morlet, Princen,   font de ce périple allemand une éclaircie dans le championnat GDC. Espérons que ce ne soit pas que cela !
 
Classement Course 1

1 15  P QUARTIER Martin/LIBRECHT Frank/JANART Jan Norma M2028 98 trs
2
91 T2
DIVOY Michaël/LEFEBVRE Alain Renault Clio Cup à 1 tr
3 8
P WILIQUET Gilles/WILIQUET Patrick Lotus Elise à 3 trs
4 40
T4
CHRISTIAENS François/QUARTIER Jo Porsche 996 GT3 à 0:45.699
5 32
T2
BUFFET Denys/DENIS Philippe Renault Clio III
à 4 trs
6
333
T1
PRINCEN Jeremy/PEETERS Gary/PRINCEN Luc Citroën AX à 0:37.793
7
55
T2
BRUGMA Thierry/MORLET Jacques Renault Clio II à 6 trs
8
59
T3
MALJEAN Willy/CAPITTE Philippe BMW M3
à 0:38.635
9
13
T2
THIRIFAYS Frank/TASSIN Daniel/GOBIN Yves Renault Clio II à 8 trs
10
200
T3
CHAPEL Michel/LANNAUX Philippe/DERIDDER Christian Nissan 200 SX-R à 9 trs
...17 classés

Classement Course 2

1 40
T4 DE BARGIGLI Roland/CHRISTIAENS François Porsche 996 GT3 116 trs
2 15
P
QUARTIER Martin/LIBRECHT Frank/JANART Jan Norma M2028 à 0:46.419
3
91
T2
DIVOY Michaël/LEFEBVRE Alain Renault Clio Cup à 2 trs
4
333
T1
PRINCEN Jeremy/PEETERS Gary/PRINCEN Luc Citroën AX à 5 trs
5
3
T2
WILDERS Michel/DERSIN Luc Honda Integra à 6 trs
6
68
T3
DELPORTE Stéphane/DELPORTE Vincent/BAIWY Georges VW Golf Turbo à 9 trs
7
13
T2
THIRIFAYS Frank/TASSIN Daniel/GOBIN Yves Renault Clio à 0:00.956
8
12
T2
MERTZ Anthony/GOEBEL Rudy/MERTZ Robert/MERTZ Grégory Renault Clio Cup à 16 trs
9
22
T3
SMEETS Stephen/STEENS Michel/NANIOT Jacques Mini Cooper S à 21 trs
10
8 P WILIQUET Gilles/WILIQUET Patrick Lotus Elise à 24 trs
... 12 Classés
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30 juin 2008 1 30 /06 /juin /2008 09:50
Actualité

    Non ce ne sont pas les recalés de l'année qui sont en blocage pour la 2e "cesse". Bon, avouons qu'en ce premier week-end de départ en vacance, le plateau n'était pas exceptionnel en... quantité. En qualité, chacun jugera, mais il est certain, hormis la poussière de la partie terre, il était bien agréable d'être présent à cette épreuve.

   En Div 4, Mayné s'est montré aussi souverain qu'à son habitude, mais il a à sa suite un Manu Bouts au volant d'une Citroën C2R2 qu'il a fait "valser". Changerait-il de monture, a-t-il de nouvelles ambitions ? Il a fait fort et devance la Subaru Impreza de Gillard et les M3 de Smet et Gillot.

    Autre surprise dans cette division, le venue de Duberck avec une BMW série 3 Coupé d ela dernière génération et préparée par Delage. Un coktail qui aurait dû être détonnant, mais que l'on ne verra plus au terme de la 3e spéciale.
   
    En division inférieure, la plus nantie, les joutes y ont été également disputées. Les visites des bas-côtés aussi preuve qu'ils ont du cran ou une certaine incoscience. Bref, il y a eu quelques dégâts. La partie terre, le T gauche ou la sortie de
cette portion, en ont piègé plus d'un. Ancion tire tout droit, Vermeiren vient déjanté sa roue arrière gauche en tapant la bordure du trottoir et Petrisot y casse le cardan... sans compter l'une ou l'autre crevaison. L'insolite nous a été fourni par Wanet qui avait sorti l'artillerie "lourde" avec sa Volvo 240 !



Mais celui qui a le pied lourd, c'est Castermanne qui y impose sa Suzuki Swift devant les deux grosses, c'est relatif je sais, Opel Astra de Vertommen et Kadett de Mingeot.

    Au final, un petit rallye bien agréable.

Classement Div 4

 
1
4
Mayné BMW M3
16.32:23
2
84
Bouts
Citroën C2R2
+25:46
3
1
Gillard
Subaru Impreza
+33:13
4
5
Smet
BMW M3
+48:96
5
2
Gillot
BMW M3
+52:25
... 11 classés

Classement Div 1-2-3
   
1
6 Castermanne Suzuki Swift 17.10:21
2
8
Vertommen
Opel Astra
+16:03
3
7
Mingeot
Opel Kadett
+20:99
4
18
Detre
Subaru Impreza
+34:07
5
43
Gallet
Peugeot 205
+35:04
...46 classés  - Source Giovanni Sghersi
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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 16:32
Actualité

    Stéphane Lémeret est finalement récompensé de sa belle prestation de 2007 puisqu'après avoir deviné et anticipé la non-participation de la Corvette du Luc Alphand Aventure, il sera de retour au sein du team Maserati Vitaphone pour l'épreuve 2008.

    Le pilote-journaliste rejoint ainsi "Tintin", Eric van de Poele, au sein du team. Il ne fera pas pour autant équipe avec sur la MC12. Il épaulera le Brésilien Negrao, le Portugais Ramos et l'Italien Alessandro Pierguidi.

    Quant à Eric van de Poele, il fera équipe avec l'Allemand Michael Bartels, l'Italien Andrea Bertolini et le Français Stéphane Sarrazin

Total 24 Hours of Spa - 24H de Spa Maserati
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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 16:19
Actualité

    Week-end complet pour Mercedes qui réalise le doublé grâce à la victoire de Jamie Green et la seconde place de Bruno Spengler.

    Réalisant un meilleur départ, Green s'impose après avoir mené la course de bout en bout si ce n'est que le temps des ravitaillements. Le poleman se laisse quelque peu surprendre, mais arrive à conserver la seconde place au premier virage.

    Pas de gros incidents notables à signaler si ce n'est un Kristessen diablement motivé au volant de l'Audi A4 blanche. Parfois limite, il aura animé le peloton. Schumarer fera de même et provoquera indirectement le statu quo en tête de la course. À

 
DTM Norisring Green Mercedes
l'entame de l'épingle, il part à l'équerre lors de son freinage et passe outre la piste pour finir sa course dans l'échappatoire. La voiture commençant même à prendre feu au niveau des freins. Des freins mis à contribution et qui causeront aussi la perte, bien plus 
 
tôt cependant, de Tomczyk (Audi).

    Les drapeaux jaunes seront agités pendant les 5 derniers tours de course à cet endroit, ce qui empêchera toutes attaques à l'intérieur du virage.
Ekström (Audi) doit donc se raviser de prendre
 
 
l'ascendant sur la Mercedes de Spengler. Du coup, le chasseur devient le chassé et sous la pression de Timo Scheider, il sollicite trop ses freins et tire trop loin au dernier virage. Timo Scheider saisit l'occasion et le passe à 100 m de la ligne d'arrivée. Il est sur le podium !

Classement
 
Pos. Pilote / Véhicule
   Tours Temps  
Ecart
1. Jamie Green (Mercedes Classe C)
74 1:01:27.700    
2. Bruno Spengler (Mercedes Classe C) 74 1:01:28.167  00.467 
3. Timo Scheider (Audi A4) 74 1:01:29.891  02.191 
4. Mattias Ekström (Audi A4)
74 1:01:30.236  02.536 
5. Gary Paffett (Mercedes Classe C)
74 1:01:42.102  14.402 
6. Paul di Resta (Mercedes Classe C)
74 1:01:45.726  18.026 
7. Bernd Schneider (Mercedes Classe C)
74 1:01:47.277  19.577 
8. Tom Kristensen (Audi A4)
74 1:01:50.740  23.040 
9. Mathias Lauda (Mercedes Classe C)
74 1:01:59.868  32.168 
10. Maro Engel (Mercedes Classe C)
74 1:02:01.278  33.578 
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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 15:21
Actualité

    Quatrième manche du championnat GT FFSA, Val de Vienne a été le théatre d'une course à rebondissement.

    Dès le départ, une grosse bousculade envoie la Corvette du DKR Enginnering pilotée par Cazenave en toupie. Semant quelque peu la zizanie, Hernandez sur la Corvette du SRT, Debard sur la Saleen du Tarres Team et Mérafina sur la Saleen du Larbre Competition sont fortement ralentis. C'est cependant la seconde voiture de ce dernier team pilotée par Bornhauser qui prend le commandement de l'épreuve devant la
Corvette du DKR de Lebon.

    Le coéquipier de Bouchut s'envole rapidement. Dayraut suit à distance et fait de même par rapport aux deux surprenantes Porsche GT2 de David Loger (Nourry Compétition) et Michel Lecourt (IMSA Performances).

    La course se calme et alors que l'on assiste à la remontée de
Hernandez/Ayari, Mérafina/Makowiecki et Debard/Thévenin,




Cazenave quitte définitivement la course suite au bris du moteur de sa Corvette.

    A 15 minutesz du terme, la safety car entre en scène, tous les écarts sont réduits à néant, et à la relance, cela devient chaud. L'incroyable survient dans le dernier tour lorque la voiture de tête, la Corvette de Dayraut tombe en panne d'essence. Le pilote s'écarte et ralenti fortement. C'est la surprise derrière et l'on passe à gauche, à droite ! Malheureusement, Christophe Bouchut "écorne" l'arrière de la Corvette SRT et endommage fortement son train avant. Il est encore en tête lorsqu'au passage de la dernière chicane, le pilote ne sait rien faire et la Saleen tire tout droit et passe par le bac à sable, laissant la victoire à la paire Mérafina/Makowieski sur la voiture soeur du Larbre Competition.

    Les Corvette belges finissent respectivement aux 5e et 6e places. En GT3, Sheier et Ballay sont 14e et 6e de la catégorie au volant de la Ferrari F430 du Thierry Boutsen Energy Racing.
Classement course 1

  Equipage Ecurie Véhicule Cat.
Temps  
Ecart
1 8 Mérafina / Makowiecki Larbre Competition Saleen S7-R GT1 1h00:44.777
2 7 Bornahauser / Bouchut Larbre Competition Saleen S7-R GT1 1h00:51.237 +6.460
3 4 Thevenin / Debard Tarres Team Saleen S7-R GT1 1h01:01.518 +16.741
4 6 Porta / Cormoreche Tarres Team Saleen S7-R GT1 1h01:09.509 +24.732
5 2 Dayraut / Lebon DKR Engineering Corvette C6-R GT1 1h03:16.694 +2:31.917
6 9 Hernandez / Ayari Selleslagh Racing Team Corvette C6-R GT1 59:00.028 +1 tour
7 36 Narac / Polette IMSA Performance Porsche 997 RSR GT2 1h00:59.174 +1 tour
8 39 Lecourt / Balandras IMSA Performance Porsche 997 RSR GT2 1h01:01.990 +1 tour
9 42 Peyroles / Ruffier
Ruffier Racing Lamborghini Gallardo GT3 1h01:02.413 +1 tour
10 55 Jakubowski / Campbell AS Events Ferrari 430 GT3 1h01:03.389 +1 tour
11 54 Tuchant / Leclerc First Racing Lamborghini Gallardo GT3 1h01:04.495 +1 tour
12 61 Cabanne / Helary Ruffier Racing Lamborghini Gallardo GT3 1h01:05.680 +1 tour
13 57 Moureu / Parisy AS Events Ferrari 430 GT3 1h01:07.170 +1 tour
14 90 Scheier / Ballay Thierry Boutsen Energy Racing Ferrari 430 GT3 1h01:12.700 +1 tour
15 58 Briche / Dubreuil First Racing Lamborghini Gallardo GT3 1h01:14.811 +1 tour
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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 06:20
Actualité

    Même si il n'y croyait pas encore, Loix, en dominant la première journée du Ypres Rally, était sur la voie de son 5e succès et de devenir le nouveau recordman de l'épreuve. Pour s'en convaincre, il se devait d'aller jusqu'au bout, mais avec un équipier de la trempe de Nicolas Vouilloz "planqué" à 20 secondes à peine, il savait que ce ne serait pas de tout repos.

    Effectivement, le début de deuxième journée confirmait les dires et de voir le pilote français survolté et de signer les scratch. Freddy étant redevenu "Fast", il ne concédait cependant que quelques... dixièmes dans les chronos. Pas de quoi s'inquiéter, mais de se dire que le premier qui aprt à la faute... a perdu. Vouilloz va l'apprendre à ses dépends et lors de la relance dans une T droit, l'avant de la Peugeot Kronos sursaute et plonge dans le fossé. Bien planté, il pourra heureusement compter sur l'aide de quelques spectateurs pour revenir sur le droit chemin. Les aiguilles ont continué à tourner et c'est plus d'une minute vingt qui s'évapore ainsi. Loix, qui n'en demandait pas tant est désormais serein et bien en tête. Il n'a plus qu'à gérer sans se faire surprendre par un faux rythme.

    Nicolas Vouilloz, retombé à la 4e place, s'en veut et repart de plus belle. Les écarts entre lui, Casier (VW Polo) et Basso (Abarth Grande Punto) sont presque insignifiants et il attaque. Il espère car il sait aussi que Freddy est en délicatesse. Petite alerte dans le team Kronos puisque la boîte du Belge n'a plus de 5e rapport. Heureusement, l'assistance se fait au bon moment et de changer la boîte sans prendre de pénalité. Leader autoritaire, Loix déroule sereinement vers la victoire.

    Et si l'on suit la lutte pour la deuxième place, on scrutte aussi le retour fulgurant de l'Italien Luca Rossetti, auteur d'une splendide remontée ce samedi après avoir perdu une minute et demie la veille sur crevaison.

Bagarre de chiffoniers

    Le podium n'étant pas
encore définit, la grosse bagarre éclate à la 13e spéciale. La longueur exceptionnelle de 43 km permet aux Peugeot de ne faire qu'une bouchée de l'Abarth de Basso et la VW Polo de Casier. L'Italien se bat avec un comportement moins précis de sa monture alors que Bernd, ainsi que le staff de René Georges, sait pertinemment que la lutte est inégale. La Polo est malheureusement dotée d'une boîte trop courte pour les passages rapides. Du coup, il perd de précieuses secondes. Il existe bien une boîte tirant plus long et qui pourrait faire l'affaire, mais ce serait au détriment de la relance en virage lent. Une situation qui révèle deux choses: premièrement, les VW et Fiat manquent de couple et "moulinent" plus haut que le moteur de la Peugeot; deuxièmement, la Peugeot est justement coupleuse à souhait. La différence est là et elle set à bon escient les performances des pilotes ayant optés pour le bolide français. Patrick Snijers le prouve aussi, lui le lauréat de l'opération BF Goodrich, qui a 50 "berges" lutte lui aussi pour le podium. Il ne lui manquera que l'expérience de cette S2000 que pour en tirer toute la quintessence. Mais quel talent quand même... Bravo Patrick !

    Nicolas Vouilloz, depuis son demi tête-à-queue, multiplie les meilleurs temps au point de décrocher le titre officieux de meilleur performer de l'épreuve (7) et de revenir à sa deuxième

 
place initiale. Mais derrière Bernd Casier était 3e devant Patrick Snijers et Luca Rossetti. Ces trois prétendants étant regroupés en 8 secondes.

    Une fois encore, Luca Rossetti, vainqueur ici-même douze mois plus tôt, sortait le grand jeu et décrochait la timbale en émergeant in extremis à la 3e place, assurant un impressionnant triplé à Peugeot.

    Pour sa première sortie en IRC cette saison, Bernd Casier offrait une belle 4e place à la VW Polo avec moins de 10 secondes d'avance sur Patrick Snijers, ravi de l'expérience sur la Peugeot Super 2000. Autant le premier n'a pas à rougir de sa prestation, autant le second peut être tout aussi fier.

    Pour l'Italien Giandomenico Basso, la fin de rallye prenait des allures de chemin de croix. Après la mésaventure de Mesen, Pour le pilote officiel Fiat,
Giandomenico Basso, la fin du rallye devenait un calvaire. Il sortait de la route perdant une minute avant de se prendre une autre minute de pénalité pour avoir pointé trop tôt dans la dernière spéciale. Il doit se contenter du 6e rang devant le Hollandais Jasper Van den Heuvel, meilleur représentant du Groupe N sur sa Mitsubishi Lancer Evo IX.

    On pointe ensuite Dominique Bruyneel (Subaru Impreza Sti), bien récompensé de sa deuxième journée, et qui passe in extremis la Mitsu de Pol Lietaer. Le top 10 revient à un Raphaël Auquier qui aura vécu un rallye difficile sur la seconde VW Polo S2000 dont le comportement ne lui a jamais inspiré confiance. Chose qu'a ressentie également Travaglia. Mais l'Italien qui changera tous ses réglages pour ce 2e jour finira pas abandonner dans la 14e spéciale.

    En deux roues motrices, Kris Princen, intraitable jusqu'alors, se retire des suites du bris du moteur de sa Renault Clio R3 et laissait les honneurs au jeune Allemand Aaron Burckhart (Citroën C2 Super 1600). Enfin, le jeune Hutois Xavier Baugnet émergeait dans le Ford Fiesta Trophy après une belle lutte avec Thierry Neuville, trahi par sa boîte en fin de parcours.

    Au classement du championnat de Belgique qui ne reprendra qu'au Circuit Flandrien (13-14 septembre), Patrick Snijers reprend le leadership et peut partir tranquille en vacance tandis qu'en IRC, Luca Rossetti, grâce à sa chevauchée fantastique  de ce samedi garde la tête devant Nicolas Vouilloz. Ce n'est qu'une question de temps avant de céder le commandement car l'Italien devrait faire l'impasse sur la manche russe programmée des 12-13 juillet
.
 
Pos Pilote / Co-pilote
Véhicule
Grp
Cls
Temps Pen Diff 1e Diff Préc.
1 9
IRC
Freddy Loix / Robin Buysmans
Peugeot 207 S2000
N
4
2:44:40.3 --:-- . .
2 2
IRC
Nicolas Vouilloz / Nicolas Klinger
Peugeot 207 S2000
N
4
2:45:39.0 --:-- +58.7 +58.7
3 14
IRC
Luca Rossetti / Matteo Chiarcossi
Peugeot 207 S2000
N
4
2:45:58.9 00:10 +1:28.6 +29.9
4 19
IRC
Brend Casier / Frederic Miclotte
Volkswagen Polo S2000
N
4
2:46:14.8 --:-- +1:34.5 +5.9
5 17
IRC
Patrick Snijers / Wim Soenens
Peugeot 207 S2000
N
4
2:46:24.3 --:-- +1:44.0 +9.5
6 6
IRC
Giandomenico Basso / Mitia Dotta
Arbarth Grand Punto S2000
N
4
2:47:03.2 01:00 +3:22.9 +1:38.9
7 12
IRC
Jasper Van Den Heuvel / Martine Kolman
Mitsubishi Lancer EVO IX
N
4
2:49:24.0 --:-- +4:43.7 +1:20.8
8 24 Dominique Bruyneel / Jean Charles Gilsoul
Subaru Impreza STi N14
N
4
2:50:59.8 --:-- +6:19.5 +1:35.8
9 20
IRC
Paul Lietaer / Kristof Dejonghe
Mitsubishi Lancer EVO IX
N
4
2:51:00.9 --:-- +6:20.6 +1.1
10 21
IRC
Raphaël Auquier / Cedric Pirotte
Volkswagen Polo S2000
N
4
2:52:22.4 --:-- +7:42.1 +1:21.5
Source IRC Ypres Rally / BF Goodrich
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